Numéro archivé : vol. 1, no 2
Charles Vincent
Les grands projets de société, ceux qui emportent l'adhésion du plus grand nombre, sont-il l'affaire d'une époque révolue? Sont-ils morts en même temps que l'aboutissement de la Révolution tranquille? Pire encore, le Québec d'aujourd'hui serait-il condamné à l'indécision, aux tergiversations, à l'immobilisme, comme le clament à cor et à cri de nombreux commentateurs de la scène publique? Des spécialistes de divers horizons répondent à cette question. Et comme vous le constaterez, non seulement leurs conclusions tranchent avec les idées ambiantes, mais elles se révèlent porteuses d'espoir.
Dans le dernier numéro, je vous invitais à nous faire parvenir vos commentaires sur le nouveau magazine. Vous avez été nombreux à le faire, et je vous en remercie. Je le fais avec d'autant plus d'enthousiasme que vous avez unanimement salué l'arrivée de ce nouveau-né : sujets pertinents, intéressants et bien traités; mise en pages riche et élégante; rédacteurs et chroniqueurs de qualité… De toute évidence, et à notre plus grand bonheur, la nouvelle formule vous plaît!
En terminant, permettez-moi de souligner le changement à la rédaction en chef du magazine : Sophie Payeur nous a quittés pour un congé de maternité, et c'est Josée Labrie qui la remplacera. Josée a travaillé dans l'univers du magazine pendant plusieurs années avant de se consacrer à la réalisation télé, au sein de Télé-Québec notamment. Bienvenue à bord, Josée!
